Photo © Rolline Laporte

Le Salon Automate

« Sublime et dérangeant. Une pièce unique »

 

La Presse (2010)

« The Salon Automaton, dans son début en langue anglaise à Buddies In Bad Times Theatre, est le spectacle le plus unique de la saison, résolument un morceau de théâtre de classe mondiale. »

 

Torontoist (2009)

« Fabuleusement original, The Salon Automaton pétille de créativité hors norme, et possède un sens de l’humour tordu. »

 

The Toronto star (2009)

« Projet artistique ambitieux, Le Salon Automate est la curiosité de cette saison »

 

Le Devoir (2008)

« C’est une question aussi profonde que la capacité à croire en son pouvoir imaginaire qui est posé et débattu dans Le Salon Automate »

 

ICI Montréal (2008)

« Entrer dans l’esprit de la comédienne, auteure et metteur en scène Nathalie Claude, la plus extra terrestre des membres du collectif Momentum, c’est accepter de faire un voyage singulier, oser explorer des zones troubles de l’âme humaine, des sentiers sombres et tortueux. Quelle extraordinaire folie dont on ne saurait plus se passer ! Dans le rôle de l’hôtesse, qui emprunte irrésistiblement au Dr. Frankenstein, à Hedda Gabler et à Marguerite Gauthier, Nathalie Claude est admirable. »

 

Voir (2008)

« Nathalie Claude approche avec humour et originalité le rapport entre l’humain et la machine, elle établit une complicité très comique avec ces amis androïdes, de sorte que l’on finit par se laisser prendre dans son jeu. »

 

La Presse (2008)

Trilogie de la Tristesse – Trilogie de la folie

« Après avoir vu quelque chose de Nathalie Claude, vous allez la rechercher partout dans la ville, pour avoir une autre dose de sa folie si particulière. Son style absurde, tragi-comique, nous rappelle un clown sympathique et raffiné. Ses tics vocaux et la violence à laquelle elle se soumet, est tout aussi empathique qu’hilarante, et son utilisation d’accessoires est totalement ingénieuse »

 

Dfdance Mtl (2006)

« Mon moment favori de l’année : la brillante et éclatée performance de Nathalie Claude, dans Lapine-Moi »

 

Montreal Mirror (2005)

« Nathalie Claude nous a livré des performances solo d’un abandon inspiré »

 

New York Times, NY “Best of the year” (2004)

« Mme Claude touche à la perte et à la mélancolie dans sa Trilogie de la tristesse , usant d’un jeu clownesque, qui couple le souffle par son audace. Elle habite la scène sans peur aucune, jouant avec un rythme très adroit et une autorité discrète, invitant le spectateur à vivre avec elle, dans sa performance. »

 

New York Times, NY (2004)

« Sur scène il faut vraiment la voir pour le croire. Éclatée, inventive, puissante »

 

Elle Québec (2002)

Limbes/Limbo

« Un exercice périlleux, brillant et par le fait même déconcertant. Deux comédiennes formidables. »

 

CBF FM (2004)

« Précise intérieure, Lin Snelling complète le jeu de Nathalie Claude-clownesque, et comme toujours d’une présence dangereusement forte »

 

La Presse (2004)

« C’est quelque chose comme vous n’en avez jamais vu avant, et ça vous remplira de merveilles. Prenez-moi au mot »

 

The Gazette (2004)

« C’est un objet spectaculaire non identifié d’une grande virtuosité que nous offrent les deux interprètes polymorphes de ce Limbes/Limbo

 

Voir (2004)

« Lin Snelling et Nathalie Claude sont les deux clowns d’un cirque fou. Blanche et Auguste, elles donnent ce texte avec une sensibilité et une intelligence aussi rares l’une que l’autre. La « machine » théâtrale est gracieusement réglée dans ce spectacle d’une beauté émouvante »

 

ICI Montréal (2004)

La Fête des Morts

« Une inoubliable expérience théâtrale, dans le vrai sens du terme.»

 

Voir (2002)

« Inspirée par les rituels autochtones de l’Amérique latine, cette aventure déambulatoire se révèle festive, iconoclaste et anarchique… L’intérêt du spectacle réside dans son approche carnavalesque d’un sujet qui, d’emblée, ne semblerait pas s’y prêter, de même que dans la hardiesse de sa conception et dans sa distribution.»

 

Le Devoir (2004)

«La Fête des Morts est un fascinant théâtre à stations. Une marche recueillie entre îlots de lueurs, une cérémonie de peu de mots dont nous sommes aussi les acteurs puisqu’elle nous amène à marcher en nous-mêmes.»

 

Le Soleil (2004)

Les Filles de Séléné

« Séléné a des filles ; des filles fortes, des filles folles, des filles en cage, des filles en rage : toujours changeantes, souvent émouvantes… c’est certainement une des œuvres les plus réussies du cycle entrepris par Momentum … notamment parce qu’elle est une véritable expérimentation, un laboratoire vivant qui dissèque un thème pourtant éculé, celui de la femme et de ses représentations…une étude déconcertante et séduisante sur la féminité, une recherche sensuelle et souvent inventive sur le corps des femmes à la fois icônes et gigognes, une femme en révélant constamment une autre.»

 

La Presse (1999)

« Les Filles de Séléné, métaphore ironique, plurielle et très forte de la condition et du travail des femmes. »

 

Le Devoir (1999)

« Un sabbat de sorcière interprétées par huit danseuses et comédiennes remarquables…des interprètes polyvalentes et très fortes…Nathalie Claude est arrivée à créer un suspense et un climat d’une telle intensité que les spectateurs sont demeurés attentifs jusqu’à la dernière minute. »

 

Cahiers de théâtre Jeu (1999)

« Un rituel féminin…ponctué d’un humour rafraîchissant.»

 

ICI Montréal (1999)

« Ballet sensuel de femmes mythiques et de mythes féminins »

 

La Presse (1999)